Mes pensées d..écrites

Appartenance au présent, appartenir en présence ...

Appartenance au présent, appartenir en présence ...

« Les êtres ne sont pas faits pour s’appartenir. Ils sont faits pour être libres, ensemble. »  Alexandra Julien

Être et/ou avoir ...

Être, ou ne pas être ... (William Shakespeare, Hamlet, 1603)
Malheureusement le système nous endoctrine depuis notre naissance (voire avant) à penser, croire et vivre le contraire...  Certes il y a les politiques religieuses, c'est la première chose qui vient en tête, sans parler de l’image de la femme (autre discussion).  Il y a les "modèles" perpétués au fil du temps venant de toutes expériences passées et/ou vécues, de la peur malsaine entraînée et engendrée, de l’enfermement dans une politique familiale (de génération en génération), de..., de...  Un exemple est de regarder les films de Disney (que j'adore hein...) qui détournent souvent du conte original/originel et du sens caché et profond.  En grandissant, il est important de sortir du premier degré : belle robe, mariage, amour toujours, ma princesse, mon prince, ...  Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants... et BAM ça s'arrête là !  Et la suite ?? ...  Facile de distribuer des images, des paroles, des idées et des pseudo-croyances du bonheur et d'influencer sur la quantité d'enfants à avoir... sur l'âge... sur le physique... sur la superficie de l’habitat et j'en passe... sans donner à réfléchir et pour ensuite faire culpabiliser en disant : "Que te faut-il de plus ?  Tu "as" une personne, des enfants, une maison, une voiture, un métier, ..." (alors que la culpabilité n'est, à mon avis, pas innée ou naturelle...).  Il est primordial de se rendre compte que ce sont des moments de vie.
En aucun cas le droit d'empêcher une personne d'être elle-même doit être permis !  Pourtant, le système a pris ce pouvoir en transformant l’humain en marionnettiste ou en marionnette, tantôt dans la bienveillance, tantôt dans la malveillance.  L'amour est un oiseau rebelle... il n'a jamais, jamais connu de loi... (Georges Bizet, Carmen, 1875).  Aimer une personne, ce n'est pas la faire sienne que ce soit un enfant (qui n’est pas à FAIRE, mais bien à offrir au monde pour ce qu’il a à apporter/à être) ou que ce soit en amour ou en amitié ou que ce soit... ou que ce soit...  S’entêter à dire “amour” ou “amitié” alors que cela reste la même racine : "amare" empêche souvent d’oser dire “je t’aime” à quelqu’un.  Le “je t’aime” est très répandu comme une formule toute faite d’engagement-appartenance au lieu d’engagement-bienveillance.  Elle est prononcée au fil du temps en mode automatique puisque pour beaucoup de choses dans la vie, l’oubli de penser ce qui est dit est fréquent.  Par exemple : “Bonjour !” (Est-ce souhaiter un(e) bon(ne) jour(née) ?, “ça va ?” (Est-ce vouloir le savoir ?), “Bienvenue” (Est-ce vouloir cette venue ?), ..., ...
Chercher plus loin toutes ces significations qui sont en réalité au fond de soi, elles sont si loin et si proches à la fois mais "nos" croyances nous en ont éloignés.  Les êtres vivants quels qu'ils soient n'appartiennent à personne. Quand je vois les gens habiller, coiffer, voire maquiller leur chien et les balader dans un sac... euh... hum...  La terre ne nous appartient pas, c'est un prêt.  Un magnifique présent à travers lequel nous pouvons vivre.  Alors rendons notre vie vivante le plus et le mieux possible, dès que possible, maintenant ! ... être présent/vivant est le plus merveilleux des cadeaux ainsi que la plus belle des croyances à transmettre de génération en génération.

 

Obje(c)t(if) relationnel ...

“ C’est mon/ma... ”

L'amour bienveillant de soi est l'élément primaire à développer, à laisser être, ...  L'amour se (re)trouve dans le/en vivant.  Ce sentiment émotionnel ou cette émotion sentimentale est un besoin fondamental devant être perpétué et transmis au fil de la vie...  Être(s) amour(eux)...

Être libre seul et s'aimer seul, c'est savoir/vouloir/pouvoir/... aimer l'autre...
C'est valable dans "toutes" les relations (amoureuses, amicales, familiales, professionnelles, ...).

Ce que l'autre n'aime pas c'est ce qui est hors de lui, que ce soit en bien (ce que la personne cherche ailleurs qu'en elle et va jalouser) ou en mal (ce que la personne rejette et fuit)... donc oui, il y aura des gens et/ou des comportements "à ne pas aimer" et des personnes qui ne s'aiment pas elle-même ont forcément des difficultés à aimer les autres.  L'amour est d'abord en soi mais beaucoup confondent avec "pour soi" ou "de soi" ... ce qui engendre du mal-être et de la pseudo-séduction.  Dans notre système c'est exactement cela qui est attendu : de la séduction malsaine qui pourrit la relation.  Il suffit de regarder la télévision, de voir comment certainEs se vendent sur des sites de rencontre, d'observer les comportements "chasse et pêche" des célibataires et les comportements " œillères et déjà "prisE(-ionner(-ère)" des couples.  La séduction, à mon avis, est incalculable, non maîtrisable, ... et vraie quand elle est saine.  Quant à l'éternel dilemme entre ces deux termes, ces deux concepts, ces divisions, ... pour mieux cloisonner dans une idée, une croyance et un comportement (qui ne peut devenir que toxique dans ce cas).  Nommer cela comme bon peut sembler : amour, amitié, ... quand c'est pur et bon, la pièce de théâtre n'a pas lieu d'être.  Tant que s'aimer soi-même (travail de toute une vie...) n'est pas, aimer l'autre ne peut être non plus... et c'est là que le paraître, le semble(-ant) entre en je(u) malheureusement... et, heureusement également vu que c'est en jouant que l'apprentissage a lieu…

Le couple, un défi de société mettant de côté que chaque relation quelle qu’elle soit est d’abord un chemin pour une rencontre avec soi-même.

Stop à :
- J'ai trouvé ma moitié.  (Que/qui cherches-tu ?)
- Tu es invité(e) et ta moitié est le/la bienvenu(e).  (De quelle moitié parles-tu?)
- Vous avez l'air heureux ensemble.  (Et pourquoi ensemble?)
- Vous vous complétez.  (Pourquoi, ne suis-je pas entier seul(e)?)
- Oh, ça c'est une personne entière !  ("Ça" c'est une chose et nous sommes tous nés "entier")
- ...

Lune de Feu

Légende Sioux sur les relations de couple
Une vieille légende raconte qu’un jeune couple d’indiens Sioux alla, un matin, rendre visite au chaman du village.  Ils vivaient près de Paha Sapa, les actuelles Collines noires, considérées comme sacrées pour ce peuple.  Le jeune était un guerrier courageux et dans son cœur habitaient aussi bien l’honorabilité que la noblesse.  Chez Nuage Haut, la jeune femme aux yeux bridés et à la longue chevelure, on retrouvait une grande détermination et, surtout, cet amour profond pour celui qui allait devenir son époux.


La raison pour laquelle ils avaient décidé de rendre visite au chaman était très importante pour eux : ils avaient peur, peur que leur engagement, que cet amour dévot et ferme qu’ils se juraient désormais se rompe d’une quelconque façon.  Ils avaient également peur de mourir et de ne pas se retrouver dans l’au-delà.   Ils souhaitaient que le vieux sorcier leur donne un remède, un sortilège ou un sort pour que leur amour soit éternel.


Le vieux chaman les regarda un instant avec son visage aquilin et ridé par les ans.
Il fuma quelques pipes, fronça les sourcils, s’éclaircit la voix et, enfin, prit la main de la jeune femme.


- Si tu veux garder cet être que tu aimes à tes côtés pendant longtemps, tu devras entreprendre un voyage.  Ce ne sera pas facile, je te préviens.  Tu grimperas en haut de cette colline que tu vois au fond et tu chasseras un faucon de tes propres mains, le plus fort et le plus beau que tu verras.  Tu devras ensuite le ramener vivant, ici même, le troisième jour après la pleine Lune.


Ensuite, le chaman se tourna vers le jeune guerrier.           

- Quant à toi, tu dois savoir que ta tâche sera aussi complexe et exigeante.  Tu dois aller au sommet de la plus haute montagne de notre région et chasser un aigle.  Le plus beau, le plus vigoureux, le plus sauvage. Tu devras ensuite le ramener ici, le même jour que ta bien-aimée.


La jeune femme sioux et son bien-aimé réussirent le défi proposé par le vieux chaman.
Elle avait attrapé un faucon et l’avais mis dans un sac en peau. Le jeune guerrier, quant à lui, portait son aigle. Le plus beau, le plus fort.


Lorsqu’ils arrivèrent devant le vieux sorcier, ils demandèrent quelle serait la prochaine étape : sacrifier les oiseaux et nous baigner dans leur sang, peut-être ?
- Maintenant, vous devez faire ce que je vous dis : prenez les oiseaux et attachez-les par les pattes avec un lien en cuir. Ainsi, l’un sera attaché à l’autre et vice versa.  Ensuite, vous devrez les relâcher pour qu’ils volent en toute liberté.  

Quand les deux jeunes réalisèrent ce qui avait été demandé, ils restèrent médusés et sans mots en voyant le résultat.  La seule chose que réussirent à faire les deux oiseaux lorsqu’ils essayèrent de voler fut de tomber encore et encore.  Frustrés et pleins de colère, ils commencèrent à se donner des coups de bec.  Le vieux chaman se rapprocha d’eux et les sépara.


- Voici le sort que je vais vous donner : apprenez de ce que vous venez de voir.  Si vous vous attachez l’un à l’autre, et même si c’est avec amour, la seule chose que vous réussirez à faire sera de vous traîner, de vous faire du mal et d’être malheureux.  Si vous souhaitez que votre amour perdure, volez ensemble, très haut dans le ciel, mais ne vous attachez jamais l’un à l’autre.  Car le véritable amour unit mais n’emprisonne pas.

...idem en amitié ou en famille ou... ou...

Ce sont des objets qui s'attachent, sinon ça tache...  La vie est faite de relations avec de l'amour envers ce que les liens nous apportent pour être heureux.  La dépendance affective donne l'illusion du bonheur alors que l'indépendance affective est l'amour de soi.  Autrement dit : seul ou en couple c'est " être libre en soi, être libre ensemble ".  Je suis mon chemin, l'autre suit son chemin et chacun est le bienvenu aux côtés de l'autre... en toute interdépendance...

« L’amour ne veut pas la durée, il veut l’instant et l’éternité. » Fiedrich Nietzsche

Citation qui pourrait être liée à tant d'images représentant un/l' amour... : un couple hétérosexuel ou homosexuel, un parent (un membre de la famille) et un enfant, une personne et une fleur, des animaux, ...  En amour, en amitié, en connaissance, ..., ... : la qualité de la relation et non la quantité d'années de relation.  La qualité = la relation et la quantité = des chiffres qui ne content pas.

 

L’amour agapé

Agapé (ἀγάπη) est le mot grec pour l'amour « divin » et « inconditionnel ».  L'agapé, souvent comparée à la charité chrétienne est, pour Platon, la troisième forme que prend l'amour après l'amour physique « éros» et l'amour de l'esprit de l'autre « philia».  C'est un amour désintéressé, sans recherche d'un enrichissement personnel, c'est donc l'amour pour l'amour c'est-à-dire l'acte de charité principalement. (Source : Wikipédia)

L'amour, juste pour l'amour, juste pour Être... Vive l'amour agapé qui pour moi accueille le philos, l’éros, ... de manière saine... et qui accompagne la bienveillance et l'humilité... Vive LA Joie ! ... Vive la tendresse ... L'amour est "tout" ...

" L’amour tendresse... Tout bascule avec la tendresse (la storgè des Grecs), qui voit l’autre comme un sujet libre et accepte sa différence.  C’est au même élan, de moins en moins égoïste, qu’appartiennent : la philia, amour-amitié qui ressent plaisir et joie à constater que l’autre est heureux, même indépendamment de soi ; l’eunoia, amour-dévouement au service du meilleur de l’autre ; et charis, amour-gratitude qui aime sans condition.  L’amour amour...  Peu d’êtres, sans doute, parviennent à cet état - l’agapè !, que certains disent « bouddhique » ou « christique », rayonnant d’amour par le simple fait d’exister, en direction de toutes et de tous, comme le soleil éclaire indistinctement son environnement entier.  À ce stade, il devient évident que « ce n’est pas exactement moi qui t’aime, c’est l’amour qui aime à travers moi. »  Vision mystique, sans aucun doute, que partagent toutes les grandes traditions.  La confrontation accompagne l’évolution... De la bataille entre chiots, se disputant les mamelles de leur mère, à la sainte colère de l’amour inconditionnel, qui ne peut accepter n’importe quoi de l’autre, précisément parce qu’il l’aime, la relation amoureuse fait des étincelles tout au long du chemin.  Mais la confrontation évolue elle-même.  Aveuglément jalouse au départ, elle traverse tous les stades qui mènent de la frustration au renoncement et à la compassion, pour aboutir à la joie d’être quel que soit le contexte."  Jean-Yves Leloup.

 

Le toucher de l’âme

Le plus beau des "je t'aime" est celui qui (d'abord pour soi) est.  Il est.  Il vit.  Il est dans la relation.  Par relation, j'entends "qui relie", sans contrôle (dans le sens du pouvoir et dans le sens de la vérification).  Il est relatif car juste... là.  Pendant que certain(e)s font ou réclament que ce soit prouvé en l'affichant telle une publicité, je pense à l'huître créant sa perle précieuse semée en jardin secret avec patience, lentement et à l'intérieur.  Les magazines people et les feux de l'amour sont partout à l'ère des réseaux sociaux.  Une image de marque, une pseudo-preuve, une étiquette (telles les ... hum... telle la boucle d'oreille offerte aux vaches), ... certain(e)s iront jusqu'à l'alliance pour être alliés sans le savoir.  Tout ce qu'ils savent c'est que l'anneau est là mais savent-ils que l'étau se (re)serre.  Ce qui sert/serre n'est pas aimé/aimer mais utilisé/utiliser.  Être " à lier " est loin du "je t'aime".  Vive la " reliance " !  Si ce besoin d'affichage est là, est-ce vraiment aimer l'autre ou est-ce essayer de s'aimer soi ?  Préférer l'amour propre dit bien ce que cela dit sinon c'est de l'amour sale ("salier").  Cependant dans cette affaire salée, tout est mélangé et le propre est délavé.  Savoir ce que l'on aime et qui l'on aime et maîtriser la nuance entre aimer la personne ou aimer ce qu'elle nous apporte : les deux réunis/reliés sont le vrai je t'aime, le pur.  À l'heure actuelle, ces mots (censés être) doux ont été abîmés telle l'eau douce décalquée guidant les/(aux) profondeurs (nécessaires).  En effet, ils sont censés toucher l'âme.  Am-our, am-itié, am-are=aimer, am-ant, ...  Un mot en cache/en montre d'autres mais devient un maux quand le toucher de l'âme est une alliance (in)consciente, un aimant à un pôle.  Lors d'une " reliance ", les âmes se (re)connaissent, elles sont touchées de reconnaissance et vont vers la bienveillance.  À ce moment-là, le "je t'aime" est dit (peu importe comment) avec pureté et mène à la simplicité.

 

Enfant “aimé/liké” en réseau(x) appartenant au “social” ... est-il d’accord d’y être/figurer ?

Si l'enfant donne son accord, cela ne veut pas dire qu'il l'est car il doit d'abord être informé de ce que cela engendre et il peut être influencé par le (comportement du) parent ou autre personne...  Il faut être sûr qu'il ait compris et donc qu'il soit mature !  Aussi, il peut être d'accord sur le moment et puis changer d'avis et il faut l'accepter.
Un enfant comprend parfois plus et mieux que certains adolescents ou adultes... il suffit d'ouvrir les yeux sur les photos/vidéos des "grands".  Si vous êtes sur un réseau social, c'est en votre nom (et encore "vive les pseudos et autres avatars"... autre discussion ...) et non en celui de votre enfant.  Cette manière de rechercher de la reconnaissance est malsaine...  Peu importe le type de publications (une évidence que l'humiliation et l'intime/le privé c'est non !), l'enfant doit être au courant et il en va de même pour qui que ce soit d'ailleurs car l'exposition incessante sous prétexte d'intégration sociale et/ou de mode et/ou ... est juste le reflet d'une société malade car "civilisée" et donc en soif de relationnel qui est devenu (in)consciemment malsain... alors se plaindre encore de la télé-réalité en la faisant/créant soi-même ou tilt ?
J'espère que c'est un joyeux tilt pour tout le monde.  En tant que parent, être responsable de la sécurité de l'enfant et du respect qu'il aura plus tard envers lui-même et les autres.  Et en tant que travailleur dans le milieu éducatif, scolaire, ... sachez que deux ou trois photos de l'événement et/ou de l'activité est largement suffisante pour faire de la pub et/ou pour rassurer les parents et/ou ... (Les enfants n'ont alors plus de jardin secret ou presque plus rien à raconter en rentrant chez eux...)...
De la logique pour un juste milieu qui entraînera le respect sécurisé/sécurisant et la sécurité respectée/respectueuse !

 

“Vieux Don” d’appartenance...

Phrase-type / Phrase-cliché :

« C’est triste de voir qu’une mère peut s’occuper de 4 enfants en même temps, mais que 4 enfants sont incapables de s’occuper d’une mère. »

Avec discernement et bienveillance et au cas par cas bien entendu ...
Les enfants sont mis au monde par les parents et n'ont pas de comptes à rendre à ces derniers.  Plus l'attachement est sain et fort avant et après la naissance, plus l'enfant aura confiance pour se détacher et voler de ses propres ailes.  La mère ne "fait" pas des enfants "pour elle".  Il est logique qu'une mère s'occupe de ses enfants (peu importe la quantité).  La mère est celle qui "nourrit" (le corps et l'esprit : le monde intérieur) et le père est celui qui ouvre au monde extérieur.  L'enfant sera l'adulte futur à qui la mère a donné/offert la vie.  En 2018, avoir encore de tels propos culpabilisants et égoïstes a un côté effrayant.  Une forme de chantage affectif alors que c'est aux parents d'être responsables d'eux-mêmes et de l'autonomie de leurs enfants.  Quand la personne devient âgée et qu'elle n'a pas pu être (elle-même), qu'elle n'a pas mis sens à sa propre existence, ... elle n'a pas à (re)mettre cela sur le dos de ses enfants.  Elle sera une vieille personne qui (re)tombe dans son enfance en cherchant à combler ses manques.  À contrario, il y a les personnes qui grandissent toute leur vie et qui prennent de l'âge/sage et qui s’élèveront à travers l'enfant qu'ils étaient/sont en s'émerveillant d'avoir des enfants et petits-enfants qui grandissent à leur tour...

 

L'Amour ouvre le cœur et est une force qui relie.

« Même si c’est pas sûr, c’est quand même peut-être… » Jacques Brel

Il est évident qu'il y aura toujours une lumière, un soleil, une luciole, un sourire aux yeux illuminés, une bougie, une étoile qui brillera plus que les autres... en conscience du besoin d'enracinement... car les racines sont en profondeur(s) ce que la lumière est en demeure intérieure pour être en hauteurs/à "la" hauteur...  Les racines ne sont pas la famille car la fa(m)ille est là pour s'accrocher, s'en-chaîne-r tels les bijoux transmis de génération en génération, tomber voire s'enfoncer et s'(e) (r)elever...  Les racines sont pour que je sui(ve), pour que peu importe où je suis, je rencontre toi et soi(s) simplement moi...

📖Gratitude pour votre lecture.
Aussi, merci de laisser une empreinte de votre passage en offrant vos avis, vos idées, vos ressentis, ... cela peut encore être en lien avec une photo, une image, un texte, une chanson, une musique, ... (dans tous les cas bien citer l'auteur) et de partager si le coeur vous en dit car l'échange est vital et d'autres que moi pourraient également en bénéficier.
Joyeusement vôtre.

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 logorevu decoupeArticle pouvant naître lié à celui-ci : “ Souffrir pour n’être

Photos : Letizia De Iuliis

©Letizia De Iuliis - La Joyeuse Penseuse - 2018-2019