Mise en joie des arts

Le 7e art

Le 7e art

 ... en art’icles pensés ...

 Au fil du "temps", cet art’icle se complètera, s’ajustera, vibrera, s'illustrera, ... vivra... 

 Je vous souhaite une joyeuse lecture au rythme des sens !

Arrête ton cinéma ^^

 La présence est là où il y a de l'art - Letizia De Iuliis

LE SEPTIÈME ART

Celui qui m'a toujours inspirée non pas dans le sens commun de la culture générale cependant des plus intéressantes, mais bien dans la partie intégrante, intrigante, ... de ce que peut procurer le visionnage d'un film à tout point de vue.

La vision d'âge, la vision de l'âge, la vision selon l'âge, ... La vision nagerait-elle ?

L'arrivée dans une salle où j'aime quand elle est vide/elle vit dans un premier temps...

Le choix de mon strapontin, de ma place à l'instant, de mon inspiration à présent, ...

Le lâcher-prise pour près de deux heures...

La bonne heure ?

Le bonheur ?

Tout serait dans l'attention, la tension ?

Mon avis est qu'un tout part de l'intention en toute part, en tout art...

"Dans les rangées de 16..." (éclairées par 16 lucioles...) by Letizia De Iuliis le 16 février 2024

L'ÉCOLE DE L'IMPOSSIBLE - Fragments de vie - 2020

S'il m'était demandé de citer un mot pour ce film, au moment où j'écris, j'opterais pour : éloquent.
Et dans mon éloquence, j'exprimerai mes premiers ressentis pour dire que ces fragments de vie sont continuellement partout autour de nous.
Dans ce cas particulier, les circonstances sont tellement extrêmes...
En tout temps, il est souvent oublié, nié, rejeté, ... que mettre en avant les êtres est le premier pas vers la vie en communauté. Seulement notre société a toujours mis en avant "ce qui ne va pas" et met en avant "ce qui va" quand cela est bénéfique pour l'image reflétée par cette élévation. Cet être qui s'élève (peu importe le "genre d'école", le rôle, le contexte : privé, professionnel, ... donc ... etc.) pousse quand son environnement lui est favorable en conscience que l'affrontement du vent, de la pluie, des orages, des parasites, des vibrations, des toxicités, des glissements de terrain, ... le forgeront. Ce n'est pas uniquement pour l'être en question car dès que celui-ci sera "pris dans un faux pas", c'est rebelote... C'est un tout et non uniquement une affaire de scolarité, de réussite, de culture, de décrochage, de statut social, de rattrapage, d'obligation, de cours, ... (Pas d'amalgame s'il vous plaît car cela y contribue. Cependant quand c'est moins flagrant ou carrément caché, c'est idem...).
C'est purement vivre et pour vivre, il faut d'abord apprendre à survivre et c'est dans ce fonctionnement imposé qu'arrivent les dépendances remplaçant l'interdépendance, le superficiel remplaçant le naturel, ... Toutes les substances (sur)consommées chaque jour (sucrées, salées, fumées, virtualisées, masquées, faussées, ...) travaillent sur les hormones tels que les intentions, le sport, le sommeil, la musique, la gratitude, la créativité, la méditation, le rire, l'expression au sens large du terme, ... œuvreraient si elles étaient simplement non pas permises mais accueillies...
Un documentaire forcément bouleversant pour moi au vu de mes expériences professionnelles (mais pas que...)... qui me conforte, me réconforte, me rend (plus) forte et, renforce mon intention puissante de persévérer dans ce que je mets en place quotidiennement !
Bravo pour ce film infiniment touchant. La complexité de l'humanité reflétée par une alternance entre l'individualité et la collectivité.
Bravo aux jeunes réclamant leurs droits (notamment que les adultes leur parlent respectueusement sans leur remettre leur problème passé en pleine face, qu'avoir un lieu de vie propre est logique et que vouloir y contribuer est génial, ... )...
Bravo à tous les participants, les acteurs mais également les gens de l'ombre ! Une seule personne en moins pour réaliser une œuvre, celle-ci serait tout autre. Cela revient donc à ce que j'exprimerai à jamais : chacun est indispensable à travers ce qu'il est avant ce qu'il fait et ce qu'il a ! Chacun a des facultés, des capacités, des compétences, ... bénéfiques pour que ce monde tourne rond et non plus carré, cadré, casé, cassé, ...
Je disais dernièrement dans un commentaire : " Les mots sont dans les mots". Je terminerais alors par dire que c'est UN possible ^^

Letizia De Iuliis - septembre 2021

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ENFANTS DU HASARD - 2021

Pas de hasard quand je sais que le handpan est arrivé dans ma vie "par hasard" et que sa première sortie a eu lieu à l'école et ce, "par hasard", ... Je parle de mon handpan parce que dans ce film c'est celui de Romain Geuzaine que vous pouvez entendre et peut-être que comme moi vous ressent(ir)ez cette sérénité procurée, cette musicalité à un moment précis, sélectionné... En conscience qu'il s'agit d'un tout entre l'intention, la fabrication, le jeu, le joueur, ... C'est impossible dans la superficialité mais bien un possible dans la super fiabilité de la volonté d'être plutôt que d'avoir et de faire.

Un film représentant les êtres dans le mieux qu'ils puissent être à partir de leur intériorité, leurs pensées, leur musicalité intérieure pouvant s'exprimer, s'extérioriser, ... tant dans l'/une adresse que dans la/une maladresse...
Petits et grands avancent ensemble dans une transmission des plus sensée puisque racontée par les gens du terrain, les gens ayant vécu ce qu'ils disent, ... et je ne parle pas uniquement de la mine mais bien d'un tout parce que tant les familles et les enfants que l'enseignante se livrent dans les activités bien plus que proposées.

Le Présent des gayettes d'autrefois, rappelé ici par un documentaire-pépite, que nous dégustons à présent en chocolat parce que l'école, c'est partout où il y a l'empreinte passée, partout où il n' y a "pas de hasard" et partout où il y a un Possible.  En effet, je ne peux qu'établir un lien avec "L'école de l'impossible " par ici.

Remets une p'tite gayette ^^ et que ma gratitude envers ces/mes Loulous joyeusement crépite !
... À la chaleur de l'Enfance et de l'ouverture de l'École qui grandit enfin, qui a encore du chemin à parcourir à travers la voix des enfants, la voie de l'enfance qui n'est/naît autre que celle du cœur.

Letizia De Iuliis - novembre 2022

ÉTÉ 85 - François Ozon -  Juillet 2020

Un film bouleversant et magnifique ! Mon ressenti est que la qualité relationnelle entre les acteurs et le metteur en scène est palpable. Une confiance doit naître à travers ces rôles puissants tant ils représentent un tout. Et quand je dis rôles, tous les rôles sont primordiaux. Une histoire commune et d'actualité avec les freins des années '80 où l'on peut alors lier, percevoir les freins de ces deux dernières décennies semblables ou non à divers degrés. Quand je vois ces deux jeunes acteurs jouer, cela me conforte dans la confiance que j'ai depuis toujours aux nouvelles générations... Un subtil jeu de regards et d'expressions qui respirent le rôle interprété où les mots deviennent alors inutiles. Quant à l'histoire et aux personnages, il s'agit d'une rencontre ou d'un renouvellement de rencontres à travers des comportements croisés et côtoyés quotidiennement dans l'observation et le récit intérieurs et extérieurs de leur(s) existence(s). L'amour de soi à travers la compréhension et l'illusion de l'amour de/envers l'autre qui je le souhaite fera(i)t jaillir l'amour inconditionnel. Un reflet de vie à travers une histoire de la mort vivante qui tue. 

 

WOMAN/WOMEN - Yann Arthus-Bertrand - Avril 2021

Ça y est je l'ai vu !! J'ai à la fois une infinitude de mots et un silence profond qui émergent telles les larmes qui ont coulé à flot... Un nettoyage important... C'est l'printemps ! ^^ Je suis tellement contente de notre rencontre avec Alexandra qui a permis celle avec ces autres femmes, avec la Femme, avec le féminin et, le masculin que je ne peux m'empêcher de mentionner tellement cette complémentarité m'importe sans forcément parler d'homme et de femme... ça y est 'suis lancée... ^^ Merci également à Manon, Margaux et Sarah pour cet échange riche après la diffusion d'un documentaire puissant dans ce qu'il est, ce qu'il dégage et absorbe à la fois ainsi que ce qu'il transite(ra)...

Les personnes ayant vu, vibré, observé, écouté, ... Woman/Women, soyez les bienvenues pour avancer, continuer à penser/panser ensemble... Le mot commentaire commence comme le mot communauté pour découvrir comment la Terre démontre comment ne plus (se) taire...

 

 NOTRE NATURE - Octobre 2022

 Magnifique Belgique 

Notre nature

Un film documentaire époustouflant à voir sur grand écran (ou malheureusement être à l'affiche pour lui est à court temps... Quelles priorités sont mises en avant en diffusant peu ce qui est Vivant ? ... Cela devient plus qu'évident !) !

Il est à ressentir, à écouter, à vibrer, à méditer, à explorer, ...
Quelles questions, réflexions, idées, avis, émotions, ... souhaitez-vous partager en l'ayant vu ?
OU en visionnant sa présentation : https://youtu.be/eVTrbYp5a3E ?
OU simplement en observant l'affiche ?
OU en répondant à : QU'EST-CE QUE "NOTRE NATURE" ?
OU encore : Qu'est-ce qui est important et pour qu(o)i, pourquoi, ... ?
OU ... ?
Lâchez-vous et à vos joyeux claviers ^^

 

SIMONE, LE VOYAGE DU SIÈCLE - Octobre 2022

Un chef-d'œuvre d'Olivier Dahan (où je parlerais des pages à travers mon langue-âge ^^ de la mise en scène, du casting, de la transparence des émotions, du cadrage et des ellipses temporelles justement dosés entre puissance et pertinence, ... , ...) à l'initiative de et avec Elsa Zylberstein incarnant Simone Veil (13 juillet 1927 - 30 juin 2017) avec autant de brio que Rebecca Marder. Deux actrices et une complétude indescriptible telle la relation, entre Antoine Veil (28 août 1926 - 11 avril 2013) et Simone Jacob, que j'ai découverte à travers cette biographie. Celle-ci va pour moi au-delà des messages frappant concernant les sujets principaux, à savoir : les droits des femmes (avortement, ...), les conditions de détentions de prisonniers, les déportations juives, ... qui font partie de ses plus grands combats et non des moindres. Cependant, je dis cela à propos de leur couple car c'est entièrement relié. Un Homme avec un grand H qui met l'orgueil inculqué, par la politique et la religion principalement, de côté avec beaucoup de difficultés mais bien le plus et le mieux possible car inévitable face à la pugnacité de Simone fidèle à elle-même, à ses émotions, ... et à cette Force en elle que je peux comprendre car certainement présente depuis sa naissance accompagnée de son vécu tant dans son enfance et adolescence avant l'âge de 16 ans, que dans les atrocités qui ont suivi. Elle apporte au masculin ce qui est loin de la définition étiquetée du féminisme tellement répandue perpétuant cette guéguerre homme-femme qui n'est autre que la dualité du féminin et du masculin en chacun de nous à (ré)équilibrer. Ils sont beaux d'amour tellement ils s'épaulent l'un l'autre au sens propre comme au figuré.

Ces quatre sujets que je mentionne se connectent à tous les autres où j'en oublierais certainement plus de la moitié tellement cela touche au Vivant :

- la place dans la fratrie et ses clichés

- les rôles déterminés par des diplômes

- les facultés de chacun (et dans ce cas chacune) salies par l'idée de corruption, de filon, ... bien à l'image de "c'est celui qui dit qui est"

- l'humiliation

- la domination par la peur

- l'exploitation

- la déshumanisation

- ...

Bref, bon nombre de mots en _tion démontrant ce qui en 2022 existe toujours puisque toujours entretenu depuis que le monde est monde.

Et dire que chacun de nous est un monde à lui seul qui oublie son interdépendance avec les mondes l'entourant...

Allez, j'y crois encore et encore plus fort et je continue(rai) de toutes mes tripes, de toute mon âme et de tout mon cœur !

En allant vers/dans le bon sens, on ne pourra qu'avancer telle une rivière ne revenant pas en arrière.

Stop à présent car le passé est censé être un phare et non la destination vu qu'on y est déjà passé ^^

À cette liste non exhaustive, j'ajouterais : le transport "comme du bétail" (dirait l'autre) où à mon sens et depuis ma plus tendre enfance où j'ai découvert que cette chair de cadavre qu'il fallait soi-disant manger était inconfortable dans ma bouche et dans mon corps... Je l'ai compris à partir du moment où j'ai su, où j'ai vu, ... des images atroces de ces animaux, ces êtres vivants bien plus que non respectés ressentir, subir, ... cette torture qu'il fallait soi-disant que j'avale... et c'est ce que j'ai conclu (en mâchant, en avalant machinalement justement cette chair de vivant tué, mort irrespectueusement...) : l'homme avec un petit h capable de faire subir cela à ceux-ci le feraient à ceux qu'il appelle ses semblables (oubliant que tout le vivant lui est semblable puisque complémentaire pour survivre...) parce que catégorisés comme humains/hommes. Et encore je m'abstiendrai d'un paragraphe concernant le racisme classant aussi les humains/animaux, ...

Pour moi, il n'y a que 2 races, les vrais et les faux. Simone dit : "Je préfère l'inconfort plutôt que le mensonge...". En voyant le film, vous verrez à quel moment elle dit cela et peut-être que comme moi cela vous fera penser à ce que je revendique : stopper la maltraitance de l'Enfance, stopper de raconter n'importe quoi aux enfants en les considérant comme ignorants, idiots, ... et j'en passe en se plaignant ensuite que les adultes soient infantilisés. Les exemples sont nombreux où l'abus de pouvoir est flagrant. Tant celui du système sur les croyances infligées et transmises de générations en générations que des adultes ayant oublié qu'ils étaient/sont enfants... Les petites personnes ressentent le vrai et le faux sans pour autant y mettre les mots et les attitudes que comprendraient un adulte tentant de les "adultiser".

J'annexerais une infinité de thèmes à aborder se joignant à tout ce que j'ai déjà publié (ou non) où je m'arrêterais pour le moment à la Maltraitance de ces deux dernières années au niveau "(pseudo-) sanitaire/énergétique", ... bafouant les lois naturelles au profit d'une crise cachant encore et toujours un crime... Les conducteurs de trains où Simone et les autres ont voyagé vers la mort de leur chair ou de leur intégrité ou ... ou... correspondent à qui conduit les gens à l'injection, à la numérotation tatouée euh code-barrée oups QR codée, à l'invention du "testing" graphiquement courbé, à la permission pointée, à l'encodage pucé, à l'autorisation via un pass, ... et j'en passe.

L'histoire se répète tant qu'elle se raconte insensément...

L'humanité (se) doit (de) renaître en ayant enfin tiré les leçons de son inhumanité !

 

QU'EST-CE QU'ON ATTEND POUR ÊTRE HEUREUX ? Anne Goscinny- Octobre 2022


 Qu'en pensez-vous ? 

Quel enchantement qu'est ce film où je profite de son titre pour vous inviter à rechercher ensemble des réponses à cette question...

Ensuite, pour qui l'a vu ou qui a lu le roman ou encore les deux, l'invitation est à l'échange de ressentis, de questionnements, ... où les miens et ceux de mon enfant ont voyagé à travers les thèmes de l'humour, des personnages, des techniques de dessin, de la collaboration respectueuse, des difficultés du passé/du vécu, des émotions qui s'expriment, de la réalisation, de la musique, de la mort, ... et bien d'autres !

 

BOB MARLEY : ONE LOVE – Février 2024

Jah Rastafari

Bob Marley, la légende musicale, parfaitement interprété par Kingsley Ben-Adir dans la réalisation de Reinaldo Marcus Green et qui l'accompagne dans celle-ci. Une œuvre magnifique mêlant la musique à l'histoire de vie en reliant les deux de façon harmonieusement cool

Dans l'ombre de chaque homme, il y a la femme qui offre la vie à cet homme et ensuite, celle qu'il rencontrera pour sa renaissance.

Les deux ailes du papillon, les deux Elle ...

L'homme est d'abord dans l'ombre, dans le ventre de sa mère. Ce véhicule, celle qui le conduit au monde.

Dans la vie de chaque homme, il y a une Rita, celle qui va lui permettre de renaître en coupant enfin le 'cordon véhiculaire' des eaux de la mer le retenant parfois/par foi ...

L'ombre n'existe pas sans lumière. Rita éclaire, est claire, voit clair et perçoit de manière claire, ... bien souvent dans l'ombre et/ou dans la lumière qu'il choisit de lui octroyer. Trop occupé à briller, à oublier l'étoile qui scintille en lui, il omet régulièrement l'effet miroir de sa fée miroir. Envahi par sa fuite de soie hors du cocon de soi...

Dans notre système sociétal, peu importe la culture, tant que la femme et l'homme entretiendront des croyances et colleront des étiquettes à la glue, cela restera gluant, collant, ... et amènera à la fuite vers un divertissement, une dispersion, une consommation consumant à petits feux. Un éparpillement de papillonnements aux milles ailes s'emmêlant/s'en mêlant à outrance, loin de la flamme éternelle du papillon déployant ses ailes. Juste d'eux deux que les cendres ravivent, revivent...

Le jeu de pouvoir doit cesser pour amener le je, loin du "moi je" et proche du "je je" [qui a vu le film (ou pas ^^) comprendra (ou pas ^^)] de puissance.

Le masculin et le féminin son(t) en chacun de nous et les forces maléfiques, celles qui font du mal aux fées miroir, tentent de supprimer ce yin et ce yang, ce binôme vital hyper déséquilibré dans une hyperaction/hyperactivité où l'âme agit/la magie encore/en corps ... ouf ...

C'est fou ^^

Que penser de cette folie ?

 

MARIA MONTESSORI : La Nouvelle Femme - - Léa Todorov - Avril 2024

L'ingrédient secret de ma méthode en dehors de ce qui est (dit) scientifique est l'amour ... - Maria montessori

Un film franco-italien réalisé par Léa Todorov où l’Italienne Jasmine Trinca incarne Maria Montessori dans un jeu de rôle incroyablement beau de simplicité.

La classe à l'italienne (chauvine ^^) dans "la classe de l'Italienne" ...

Je commencerai donc par déclasser. Et oui comme d'habitude, je précise que je ne prône aucune méthode et n'en utilise aucune. Preuve en est que je ne les ai pas lues, étudiées et n'ai pas accepté d'être formatée dans des format(ion)s imposé(e)s en "pseudo-libre-choix". Je me laisse guider par mes expériences de vie et c'est à mon sens ce qui rend expérimenté/expert(isé)/... , loin des permis à point(s) oups, des diplômes étiquetants. À l'heure actuelle (qui ne date pas d'hier), tout est tronqué, trompé, ... "prouvé scientifiquement".

Les parents sont pris pour des idiots par des pseudo-scientifico-pédagogues surmédiatisés (parce que s'appropriant, sans le dire, les dites méthodes "in") leur dictant comment agir avec leur enfant qu'ils ont confié à du personnel scientifico-éducatif oubliant régulièrement que lui-même est parent (où je rappelle que pour ma part, nous sommes tous "parent" que l'on ait des enfants ou pas).

Dans notre société, il est cru qu'il faut copier et coller et donc avoir et faire comme c'est dit et/ou écrit dans "la" méthode. Alors qu'à mon humble avis, c'est l'amour de ce en qu(o)i l'on croit/croît qui rend méthodo-logique après expérimentation saine et non calculée au nom d'une science entraînée à prouver et à réclamer des résultats immédiats après examination rapide(ment) jugée nocivement par des "hauts placés", par des "nommés-experts", par ... prenant tout pouvoir à travers des décisions à pile ou face, cette dualité bien éloignée de la pluralité du vivant.

J'ai appris ici à (re)connaître Maria, l'être vivant, l'être humain, la femme, ... et non sa méthode qui à l'heure d'aujourd'hui (re)vit en étant utile certes. Cependant, l'engrenage de la mode et de l'utilisation entraîne par moment des dégâts. Une évidence quand il est compris que l'école est une entreprise "comme les autres" où dans le film c'est vu à l'instant où l'éclairage sur l'exploitation des connaissances de Maria est dévoilée (pour qui ne l'aurait pas capté dès le départ).

Hormis les croyances abîmant la femme (devant appartenir à l'homme qu'elle n'a bien souvent pas choisi, n'ayant pas de salaire, devant enfanter pour l'héritage familial, ... et j'en passe...) et l'homme imbibé de ce qui lui a été mis dans le crâne : "se*e fort" qu'il croit qu'il doit dégainer à tout va telle une arme puisqu'on le force à être à l'origine de la gueguerre créée de toute pièce par le système, la matrice, ...), passant avant, se montrant, étant au devant de la scène, pouvant faire des études, privé du corps qui exulte dans un extrême et pouvant avoir (et oui tel un objet) plusieurs conquêtes (ne me faites pas diviser le mot hein) dans un autre extrême. (Énergétiquement, entre autres, le "nettoyage" prendra sept ans pour un seul rapport se*uel, je vous laisse imaginer ce que les mélanges entraînent comme dérives et l'on est encore surpris par le mal-être planétaire ambiant ? Où par-dessus le marché, le système prend ce dessus pour éduquer la jeunesse au se*e, un chat s'appelle un chat, et non au sacré de la se*ualité...). À l'inverse, la femme qui ferait cela serait dans la catégorie des pro*tituées où dans le film, elles sont mises dans le même sac que les criminels et les enfants dits déficients où il est précisé qu'ils sont tous (donc ces trois "espèces") débiles et le resteront... En gros, le sac serait bien jeté. Mais non, sinon plus de business perverti/perversif. Bref, ...

Deux autres rôles primordiaux excellemment bien interprétés sont ceux de Tina et de sa mère où il est enfin montré comment deux femmes peuvent se soutenir et s'élever au lieu de tomber dans le piège sociétal rempli de compétition, de concurrence, ... et de déséquilibre des énergies masculine et féminine dans un patriarcat et un matriarcat démesurés.

Voici ce que j'ai déjà publié auparavant :

Dans l'ombre de chaque homme, il y a la femme qui offre la vie à cet homme et ensuite, celle qu'il rencontrera pour sa renaissance.

Les deux ailes du papillon, les deux Elle ...

L'homme est d'abord dans l'ombre, dans le ventre de sa mère. Ce véhicule, celle qui le conduit au monde.

Dans la vie de chaque homme, il y a une Maria, celle qui va lui permettre de renaître en coupant enfin le 'cordon véhiculaire' des eaux de la mer le retenant parfois/par foi ...

L'ombre n'existe pas sans lumière. Maria éclaire, est claire, voit clair et perçoit de manière claire, ... bien souvent dans l'ombre et/ou dans la lumière qu'il choisit de lui octroyer. Trop occupé à briller, à oublier l'étoile qui scintille en lui, il omet régulièrement l'effet miroir de sa fée miroir. Envahi par sa fuite de soie hors du cocon de soi...

Dans notre système sociétal, peu importe la culture, tant que la femme et l'homme entretiendront des croyances et colleront des étiquettes à la glue, cela restera gluant, collant, ... et amènera à la fuite vers un divertissement, une dispersion, une consommation consumant à petits feux. Un éparpillement de papillonnements aux milles ailes s'emmêlant/s'en mêlant à outrance, loin de la flamme éternelle du papillon déployant ses ailes. Juste d'eux deux que les cendres ravivent, revivent...

Le jeu de pouvoir doit cesser. Le masculin et le féminin son(t) en chacun de nous et les forces maléfiques, celles qui font du mal aux fées miroir, tentent de supprimer ce yin et ce yang, ce binôme vital hyper déséquilibré dans une hyperaction/hyperactivité où l'âme agit/la magie encore/en corps ... ouf ...

C'est fou ^^

Que penser de cette folie ?

Pour en revenir à Maria, je terminerai par lui envoyer de la gratitude car sans elle, ce film n'aurait pas existé et ne m'aurait pas appelée. Oui oui, il m'a envoyé le signal qu'il était grand temps pour moi de conscientiser la (Terre-)Mère/Maria faisant partie intégrante de moi, celle qui va continuer à transmettre ce qu'elle a dans les trippes, l'amour maternel, l'amour universel/uni vers elle et donc littéralement inconditionnel et interdépendant.

Autre questionnement venant du film cette fois (où je fais exprès de la sortir, de la mettre hors contexte puisque vous l'aurez remarqué je ne raconte pas le film. Je transmets simplement ce qui vient après mon visionnage donc, ma propre vision momentanée) :

Peut-on confier son destin à un sentiment aussi inconstant que l'amour ?

J'ajoute alors :

Qu'est-ce que l'amour et en quoi serait-il un sentiment ?

Qu'est-ce que l'amour et en quoi serait-il constant et/ou inconstant ?

Qu'est-ce que le destin ?

...

 UN P'TIT TRUC EN PLUS - Artus - Juin 2024

Oser l'entièreté assaisonnée - Letizia De Iuliis 

 Quelle pépite de bonheur qu'est ce film d'Artus au casting et au(x) jeu(x) riches de vie(s) où je profite de son titre pour vous/nous inviter à rechercher ensemble des réponses liées à son expression 

C'est quoi : "(Avoir) un p'tit truc en plus" ?
Y aurait-il (alors) (parfois) "un p'tit truc en moins" ?
Qu'est-ce que la différence ?
Qu'est-ce que la ressemblance ?

Pour qui l'a visionné ou non, l'invitation est à l'échange de ressentis, de questionnements, ... où les miens vont être que je me suis régalée du début à la fin. Les zygomatiques s'en souviendront ainsi que les vagues des larmes jouant la musique de l'intensité du panel émotionnel. J'ai cru, je crois et je continuerai à croire qu'il est possible que l'étiquetage excessif à tout niveau dans le monde du vivant (humain, animal, végétal, minéral, astral, ...) cesse et qu'enfin chaque être puisse justement être, juste vivre dans sa singularité, dans son individualité, ... dans sa simplicité complexe et/ou dans sa complexité simple ... Il est proposé ici et à mon sens de lâcher, de se lâcher, de dédramatiser, d'oser le vrai, l'authenticité, l'interdépendance, ... avec discernement ...

Autre questionnement venant de cette merveille cinématographique où un personnage réplique : "J'y ai trouvé une famille !"

Qu'est-ce que la/une famille ?
Qu'est-ce que "trouver une famille" ?
...

 

Couper 🎬

Pepse ta vie de zestes de folie
Au pays des arts de la chevelure
Où la créativité (p)rend vie
La reliance entre personnalité
Et nature
Amène un(e) coup(e) de pub mérité(e)
En ces temps inouïs
Guidant vers un paradis
Repensant le respect et la fierté
Humour et légèreté joyeusement philo accompagnés de gestes éco-responsables parce que tout est là, tout est dans la nature, ... Voici des liens pour donner/offrir ses cheveux (perruques, dépollution, ...), .. D'une pierre deux coups pour penser au(x) terme(s) folie(s)... Bienvenue en toute philosophie !
 

Gratitude pour votre lecture. 
Aussi, merci de laisser une empreinte de votre passage en offrant vos avis, vos idées, vos ressentis, ... cela peut encore être en lien avec une photo, une image, un texte, une chanson, une musique, ... (dans tous les cas bien citer l'auteur) et de partager si le cœur vous en dit car l'échange est vital et d'autres que moi pourraient également en bénéficier.
Joyeusement vôtre.

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 Letizia De Iuliis ©La Joyeuse Penseuse 2013-2024