Mes pensées d..écrites

La terre sauve-âge fait appel à la mer ...

La terre sauve-âge fait appel à la mer ...

Être(s) en connexion et établir une communication pure autant avec soi-même qu'avec les autres est inné et perpétué si l’exemple est transmis et ajusté de génération(s) en génération(s).

Mon écrit commencerait par une merveilleuse illustration et/ou photographie en noir&blanc représentant une femme enceinte elle-même dans un "utérus sablé relié ombélicalement" à la mer ...

Celle-ci étant non sourcée et peut-être non libre de droits est à imaginer ^^

 

Une personne est un individu et a besoin d'être identifié(e). D'où l'importance de l'identité et surtout de l'individualisation... Tout le monde civilisé suit ?!? Ceux que certains appellent péjorativement “sauvages” dans un besoin effréné de coller des étiquettes. Ces sauvages-là qui “ici” seraient forcés d'être en civil... (Beaucoup préfèrent le monde sauvage d'Aywaille... mais je m'égare là ... hum ...) sauvent l’âge.  Ils sont vive ans ! Ils sont en vie !

Revenons-en à no(u)s moutons : "Vouloir un enfant... Faire un enfant... Avoir un enfant..." ... hum ... rhooo je me gare encore une fois...

Un enfant n’est pas à VOULOIR, à FAIRE ou à AVOIR, mais bien à OFFRIR au monde pour ce qu’il a à ÊTRE. (Pourtant les civilisés apprennent la conjugaison à l'école nan ? ...).

L'enfant vient au monde pour être accueilli matériellement ...euh... “matièrellement”  (pas facile quand le format-âge a eu le pouvoir un temps jadis...).  Si je dis “naturellement”, ça va ? Oui il est présent bien avant sa conception. Oui il est ressenti par la future mère. Non ce n'est pas le ressenti du vide que la femme sent comme un manque dans sa vie.  Non ce n’est pas un objet qui vient finaliser et/ou continuer la déco de la case à (meubler) ... euh de la casa ... bref, “Maisons du monde” c’n’est pas ça ! Non ce n'est pas quelque chose qui arrive pour consolider un couple. Dans s'accoupler, il y a le mot "couple" mais comme pour beaucoup de mots, sa définition première a été abîmée et utilisée autrement.  Un couple est une union d'un instant de vie et non pas d'une durée de vie.  La qualité de l'union est vitale et la quantité de temps d'union n'est qu'un chiffre représentant le temps tel qu'il est utilisé mathématiquement. Mais le temps de l'enfantement est tout autre : il s'agit du temps de DONNER la vie.  Oui les êtres vivants ont le pouvoir magique d’offrir une vie au monde.  Ne dit-on pas "mettre au monde" ?  Alors quand le terme sauvage est utilisé c’est magique car il efface un ins-temps le terme civilisé ou citoyen si tu préfères.  Ces braves citoyens qui croient que le bébé et l’enfant (voire même l’adolescent) est un être à dresser, à posséder ou à utiliser pour combler un mal-être, une blessure, un vide, un manque, un regret, un projet non abouti, une continuité professionnelle, ... ou encore un prétexte d'amuser une galerie en abusant d'une naïveté ou d'une ignorance innocente en l'humiliant et/ou en l'exposant à tout va... ou un modèle de compétition et de concurrence pour donner des pseudos preuves d'une bonne éducation/instruction... ou ... ou...

Une personne a besoin de n'être (naître) pas qu'une sensation d'être envie...

 

Chez les Himbas de Namibie

Une histoire digne d’un conte de fées avec une (vraie) fin autre que le camouflage anti-vie et sans suite du “Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants”.  Dans ce récit, le cycle est complet : d’une vie à une mort. Un accueil respectueux et respecté. Une présence vivante accompagnée du chant de l’enfant en Moi.  Un deuil joyeux.  Un début sans faim et une fin sans début...

Pour qui veut partager cette histoire, la voici magnifiquement illustrée par une mère et son petit en tenue traditidionnelle : collier, coiffe et "jupe/pagne".  Celle-ci étant non sourcée et peut-être non libre de droits est à imaginer ^^ Attention on voit un peu de son sein ... quelle sauvage ! (Le porno, les selfies plongeants, le silicone, ... c'est plus civilisé hein !) À bon entendeur !  Bonne lecture...

Chez les Himbas de Namibie en Afrique australe, la date de naissance d’un enfant est fixée, non pas au moment de sa venue au monde, ni à celui de sa conception, mais bien plus tôt: depuis le jour où l’enfant est pensé dans l’esprit de sa mère .

Quand une femme décide qu’elle va avoir un enfant, elle s’installe et se repose sous un arbre, et elle écoute jusqu’à ce qu’elle puisse entendre la chanson de l’enfant qui veut naître. Et après qu’elle ait entendu la chanson de cet enfant, elle revient à l’homme qui sera le père de l’enfant pour lui enseigner ce chant. Et puis, quand ils font l’amour pour concevoir physiquement l’enfant, ils chantent le chant de l’enfant, afin de l’inviter.

Lorsque la mère est enceinte, elle enseigne le chant de cet enfant aux sages-femmes et aux femmes aînées du village. Si bien que, quand l’enfant naît, les vieilles femmes et les gens autour de lui chantent sa chanson pour l’accueillir.

Au fur et à mesure que l’enfant grandit, les autres villageois apprennent sa chanson. Si bien que si l’enfant tombe, ou se fait mal, il se trouve toujours quelqu’un pour le relever et lui chanter sa chanson. De même, si l’enfant fait quelque chose de merveilleux, ou traverse avec succès les rites de passage, les gens du village lui chantent sa chanson pour l’honorer. Dans la tribu, il y a une autre occasion où les villageois chantent pour l’enfant. Si, à n’importe quel moment au cours de sa vie, la personne commet un crime ou un acte social aberrant, l’individu est appelé au centre du village et les gens de la communauté forment un cercle autour de lui. Puis ils chantent sa chanson. La tribu reconnaît que la correction d’un comportement antisocial ne passe pas par la punition, c’est par l’amour et le rappel de l’identité. Lorsque vous reconnaissez votre propre chanson, vous n’avez pas envie ou besoin de faire quoi que ce soit qui nuirait à l’autre.

Et en va de même ainsi à travers leur vie. Dans le mariage, les chansons sont chantées, ensemble. Et quand, devenu vieux, cet enfant est couché dans son lit, prêt à mourir, tous les villageois connaissent sa chanson, et ils chantent, pour la dernière fois, sa chanson. »

 

Les sauve-âges dits nuisibles... sont aussi parfois nommés "étranger"... c'est (être) étrange hein ?!

L'expression bien connue disant qu'il faut "suivre les enfants", "être derrière" eux ...
La rejoindre si elle prend l'exemple "discerné" de la meute de loups, des oiseaux migrateurs ou simplement s’envolant du nid, de(s)… , … de(s) … loin des "pousser" et/ou "tirer" prenant la place des "élever" en surélevant comme surveiller est un surplus de veiller, comme surconsommer l'est de consommer, comme surprotéger l'est de protéger, comme chef l'est de guide, comme ... , comme ...
Les limites sont sensées, flexibles et bienveillantes.

L'expression bien connue disant qu'il faut " respecter les aînés" ...
La rejoindre si elle prend l'exemple "discerné" de la meute de loups, des oiseaux migrateurs ou simplement s’envolant du nid, de(s)… , … de(s) …  car les pseudo belles paroles ayant un air de respect sur un disque rayé tellement il en est joué ; la réprimande faite à un soi-disant "vilain garnement insolent méritant une tarte, une torgnole (clin d'œil carolo ^^)" ; ... donneront à n'importe quel âge une lettre qui rendra le chiffre sage et non cage avec une porte (aux diverses sonnettes/sornettes/sots nets : "tu comprendras plus tard" ou "c'est pour ton bien" ou... ou...) ouverte.
Le respect aîné/est né des échanges quels qu'ils soient, de la transmission mutuelle, de... , de... et de la crème de la tarte (ou la cougnole ^^)...

L'expression bien connue disant qu'il faut "traiter les handicapés comme les autres"...
La rejoindre si elle prend l'exemple "discerné" de la meute de loups, des oiseaux migrateurs ou simplement s’envolant du nid, de(s)… , … de(s) …  car ce sont des données que l'on traite, que c'est le handicap qui est une différence comme les autres et qu'il a donc sa place quel que soit son origine.
Chacun en a au moins un et chaque être est né pour accomplir sa mission avec ce qu'il est et sans les croyances pointées du doigts de ce qu'il n'est/naît pas...

L'expression bien connue disant qu'il faut "une bonne é..duc..ation"...
La rejoindre si elle prend l'exemple "discerné" de la meute de loups, des oiseaux migrateurs ou simplement s’envolant du nid, de(s)… , … de(s) … où le "Duc" fait du mieux qu'il peut en toute conscience de son statut de loup, d'oiseau, de... , de ... et de son rôle.  Discernement Utilité Concrétisation.

L'expression bien connue disant "On n'est pas des pigeons"...
La rejoindre si elle prend l'exemple "discerné" de la meute de loups, des oiseaux migrateurs ou simplement s’envolant du nid, de(s)… , … de(s) … où la fiente est inutile sur la tête des autres puisqu'elle aura un effet boomerang (selon la trajectoire et la vitesse des Quatre Vents) et peut tomber plus bas selon le choix d'avoir le rôle de pigeon ou non... Et toi, quel rôle as-tu ... ici-bas ?

L'expression bien connue disant "Ils suivent comme des moutons"...
La rejoindre si elle prend l'exemple "discerné" de la meute de loups, des oiseaux migrateurs ou simplement s’envolant du nid, de(s)… , … de(s) …  où la position "troupeau" (où chacun bêle en essayant de bêler plus fort que l'autre surtout sur le mouton tentant de se frayer un autre chemin pendant que les autres suivent le tapis rouge) peut être pratique pour avancer ensemble en marche sensée (en montant et en descendant) dans l'escalier de la résilience et de la bienveillance.

Et si je vois "suivre" comme "être" : "Je Suis" ...

 

Sous L’Air du Vent Joyeux, souffle d’une Rivière jamais en marche arrière…

Pour toi je suis l'ignorante sauvage
Tu me parles de ma différence
Je crois sans malveillance
Mais si dans ton langage
Tu emploies le mot sauvage
C'est que tes yeux sont remplis de nuages
De nuages

Tu crois que la Terre t'appartient toute entière
Pour toi ce n'est qu'un tapis de poussière
Moi je sais que la pierre, l'oiseau et les fleurs
Ont une vie, ont un esprit et un cœur
Pour toi l'étranger ne porte le nom d'homme
Que s'il te ressemble et pense à ta façon
Mais en marchant dans ses pas tu te questionnes
Es-tu sûr, au fond de toi, d'avoir raison?

Comprends-tu le chant d'espoir du loup qui meurt d'amour
Les pleurs des chats sauvages au petit jour
Entends-tu chanter les esprits de la montagne?
Peux-tu peindre en mille couleurs l'air du vent?
Peux-tu peindre en mille couleurs l'air du vent?

Courons dans les forêts d'or et de lumière
Partageons-nous les fruits mûrs de la vie
La terre nous offre ses trésors, ses mystères
Le bonheur, ici-bas n'a pas de prix
Je suis fille des torrents, sœur des rivières
La loutre et le héron sont mes amis
Et nous tournons tous ensemble au fil des jours
Dans un cercle, une ronde à l'infini

Là-haut, le sycomore dort
Comme l'aigle Royal, il trône impérial
Les créatures de la nature ont besoin d'air pur
Et qu'importe la couleur de leur peau
Nous chantons tous en chœur les chansons de la montagne
En rêvant de pouvoir peindre l'air du vent
Mais la Terre n'est que poussière
Tant que l'Homme ignore comment
Il peut peindre en mille couleurs l'air du vent

Source : Musixmatch

Paroliers : Alan Menken / Stephen Laurence Schwartz

Interprète : Laura Mayne

Paroles de L'Air du vent © Walt Disney Music Company, Wonderland Music Co. Inc., Wonderland Music Company Inc., Wonderland Music Company Inc, Walt Disney Music Co Ltd

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 logorevu decoupeCrédit photo et badge (en-tête/montage) : Letizia De Iuliis & Disney

©Letizia De Iuliis - La Joyeuse Penseuse - 2018